Fiction-016 |
Nom de la planète principale |
Nagiria |
Forme de vie sur la planète |
Oui |
Autre planète habité |
Non |
Espèce dominante de la planète principale |
Homo Sapiens |
Niveau Technologique |
Das |
Comportement à adopter |
De bref contacts et un respect total est obligatoire pour maintenir une bonne relation avec les habitants d'Aridia. |
Photo d'un camp établis par des habitants de Nordia.
Procédure Comportemental et Relationnel
Un camp de base de la BPF doit être établis sur le continent du sud, nommé Aridia. Les agents de terrains ne peuvent rester dans ce camp plus de deux mois avant d'être remplacé par de nouveaux agents.
Les habitants du continent de Nortia, situé dans l'extrême Nord, doivent être considéré comme hostile a la BPF et aucun Agent n'est autorisé à entrer en contact avec eux. Les habitants du continent d'Aridia, situé dans le sud, ne se montrent généralement pas hostile aux agents de la BPF. Malgré cela, il est conseiller aux agents d'être extrêmement prudent lorsqu'ils entrent en contacte avec ces habitants et les contactes avec eux doivent être extrêmement courts et rares.
Description de la Planète Principale
La planète principale, nommé Nagiria, est composé deux continents. L'un, nomme Nordia et situé au Nord, est un immense territoire de neiges éternelles ne faisant pas moins de 10 millions (10'000'000) de kilomètres carrés. Les températures peuvent aller jusqu'à moins soixante dix (-70) degré en Hiver et jusqu'à un (1) degré en été. Sur ce continent, l'espèce dominante sont les hommes ("Homo Sapiens") au nombre d'environs 500 millions (500'000'000) d'individus. Tous sont des guerriers barbares au comportement agressif et qui refusent tous contact, vocal ou écrit, avec les étrangers.
Le continent du sud quand à lui, se nomme Aridia et est un immense désert accueillant des humanoïdes quadripode ne possédant pas moins de six (6) bras et ayant une résistance extrême à la chaleur. Le territoire est très montagneux et la plus haute de ces montagnes atteint quatre milles (4'000) mètres de haut, et contient à l'intérieur d'elle même la capitale du continent, nommé Xiafang, soit "Forteresse" dans la langue locale.
Les deux continents sont en guerres depuis environ trois-cent-cinquante ans (350) d'après les estimation effectué par les historiens du département R.E.D, pour des raisons que même les plus âgées des deux camps ignorent complètement, mais aucun des deux adversaires ne veut l'admettre et abandonné. Leur fierté est beaucoup trop importante et les attaques par l’océan restent assez nombreuses. Cet océan, appellé Lazuli par les habitants, mesure environ soixante millions (60'000'000) de kilomètres carrés et est jonché de reste de navires, vestiges de batailles passé.
La flore de la planète est extrêmement pauvre, se composant principalement de plantes au propriétés médicales étonnante pour Aridia et de plantes toxiques adaptés au froids pour Nordia.
La flore marine se compose de multitudes de types d'algues ayant des propriété comme rendre la vue a un aveugle si frotté sur des yeux atteint de cécité, de nourrir un adulte avec une seule plante ou encore de servir de cordage étonnamment solide. À noter que des arbustes morts ayant été découvert sur les deux planètes, l’hypothèse que de nombreuses espèces de plantes et d'arbres auraient disparues de la planète est donc probable.
Fonctionnement des Sociétés de la Planète
La structure politique de Nordia semble assez précaire selon les anthropologue du département R.E.D. Seul un chef est au pouvoir. Ce chef est le plus anciens et c'est lui qui prend toute les décisions pour l'avenir de son peuple. La religion est très importante sur ce continent. Tous croient que la terre est plate et délimité par un mur de brume. Après recherche des astronomes du département R.E.D, il fut prouvé que la planète en question est en réalité ronde. Si ce mur est franchis, la personne l'ayant franchit tombera dans le vide et sera dévorer par le créateur nommé Zaklias. À noter qu'aucune trace de la moindre créature sous la planète n'a été trouvé.
Sur le continent d'Aridia, une oligarchie est dominé par un groupe nommé ''le Conseil''. Ce conseil décide de tout, des décisions stratégiques sur la guerre ou des simples querelles de citoyens. La population est composé d'athées, malgré l'existence d'une petite secte affirmant que le monde fut crée par un dieu oiseau et qu'ils se doivent de le vénéré existe. Les habitants sont généralement accueillant avec tous le monde et s'entraident le plus possible. Tous le monde est égale et le métier le plus important est celui de soldat, nécessaire pour affronter leur ennemies du Nord. Les soldats composeraient cinquante (50) pour-cents des quelques un-millions-cinq-cent-milles (1'500'000) habitants.
Autres Espèces présentes sur la planète
La faune de Nagiria est extrêmement vaste. Voici une liste non-exhaustive des différentes espèces retrouvé sur cette planète :
- Des Juki, sorte de petits primates ("Primates Linnaeus") au crocs acérés qui attaquent à vue toute forme de vie.
- Des Fumo, sorte de petits dragons ("Draconis") de vingt-cinq (25) centimètres de hauteurs. Ils sont assez dociles et sont les principaux habitants de compagnie des habitants d'Aridia.
- Des Grizzo, sorte de grizzli ("Ursus arctos horribilis") de cinq (5) mètres de haut étant extrêmement agressif.
- Une trentaine (30) de races de chiens ("Canis lupus familiaris") différentes
- Une cinquantaine (50) de races d'alligators. Certains survivent dans l'eau froides tandis que d'autres vivent dans l'eau très chaude et auraient des pics dans le dos.
- Des dauphins ("Delphinus delphis") à quartes nageoire.
- Des serpents des mers ("Elapinae") mesurant pas moins de soixante (60) mètres de longs
- Des poissons avec des dents acérés étant extrêmement agressif et dévorant les autres espèces.
- Des requins ("Selachimorpha") à tête carrée.
- Des calamars géant ("Architeuthis"° étant capable de percer la coque des navires.
Début de la retranscription.
Bon… je sais que je ne dispose que de très peu de temps avant qu'ils ne viennent. Ce n'est qu'une question de temps. Si vous trouvez ceci, c'est que vous avez probablement rôdé là où vous ne devriez pas. Cela va de soi, mais je pense que de toute façon, le monde devrait savoir mon erreur, pour ne jamais la répéter. Commençons donc.
J'étais quelqu'un d'important à cette époque. J'étais un Mark-6 en charge de la toute première fiction trouvé. Lorsqu'elle fut découverte, ce fut une grande avancé pour le BPF, alors encore à ses débuts. Étant la personne ayant découvert cette FIC, je fut chargé de superviser les recherches sur elle. Nous en apprirent beaucoup et de nombreuses technologies encore utilisé aujourd'hui ont été découvert dans cette FIC. Mais très vite, leurs découvertes furent si grandes qu'ils commencèrent à tenter de voyager entre les fiction. C'est là que la décision de saboter leurs efforts furent prises. J'étais l'un des fervents défenseur de cette décision.
Les procédures de sabotages débutèrent alors. Des petits groupes d'éclaireurs furent envoyer pour trouver les plans précis de leur projet. Une sorte de portail qui générerait un champ permettant de changer de fiction. Au début, nous trouvèrent cela ridicule et nous ne lançions que de très peu de sabotage, estimant que leurs recherches seraient futiles avec ces plans. Mais nous ne nous attendions pour à ce qu'ils avancent aussi vite. Ils avaient en effet trouvé une façon que nous n'avions jamais imaginé. C'est alors que nous somme passé en surveillance permanente de la FIC. Ving-quatre heures par jours, des agents étaient devant le poste de surveillance à observer la FIC.
C'est un jour ou j'étais de garde que tout bascula. Je n'étais qu'avec trois autres agents, tous occupé à leurs postes. Je regardais le système de surveillance comme d'habitude. J'allternais entre toute les caméras en restant environs cinq minutes sur chacune d'entre elles. Jusqu'à trouver une caméra dans une maison. Je ne trouvais pas cela bizzare, car presque toutes les habitations de cette FIC étaient sous vidéosurveillance, avec des caméra invisible bien entendue. Mais je vis dans cette caméra une femme magnifique, d'apparence presque humaine si l'on omettait le fait que sa peau était mauve. Ses long cheveux ondulaient le longs de son corps tout en courbe et ses yeux mauve étaient d'une clareté étincelante. Elle étais en train de jouer d'un instrument qui m'étais inconnu, mais la douceure de sa mélodie captiva aussitôt mon attention. J'oublia alors mon travail et passa tout mon tour de garde à l'observer. Je découvrit alors qu'elle aimait la musique bien évidamment, mais également la cuisine, la peinture et la lecture. Plus je l'observais, plus je me découvrais des intérêtes commun avec cette femme inconnue que j'espionnais à son insu, tapis dans l'ombre.
Ce petit jeu dura pendant près d'un mois. À ce moment, mes pensées étaient obnibulé par cette inconnue. Et j'ai commis la pire erreur de ma vie. Il étais précisément minuit moins cinq. Il ne restait que moi et un homme qui surveillait la fiction. Mon poste étant situé tout près du téléporteur me permettant d'aller visiter la Fiction, je décida d'utilise mon grade pour l'activer. Après tout, personne ne pouvait me voir ni même se intervenir au vu de mon importance à cette époque. Et c'est ainsi que je découvrit cette Fiction de mes propres yeux. Tout étais beau, ce monde me semblait si parfait et si parfaite au vu de la Fiction de laquelle j'étais originaire.
Je mis plusieurs heures à atteindre le village de l'objet de mes convoitise. Petit détail : les gens me regardaient extrêmement bizarement. Bien évidemment, un homme blanc dans une foule de gens à la peau mauve, sa se remarque. Quel crétin j'étais! Mais par chance, les habitants de cette Fiction semblaient assez gentil avec les étrangers. Du moins, je ne me fit pas attaqué ni même importuné. Mais j'avais oublié un détail crucial: je ne savais pas l'emplacement de la maison de la femme que je cherchait. Cela étais stupide, mais je passa deux jours complets à chercher dans le village, en vain. Mais le troisième jour, je la vit sortir d'un habitation près de la poissonnerie locale. Elle étais encore plus belle en vrai. Je ne me résolut pas encore à l'aborder, mais connaissant ses goûts, je savais exactement comment l'aborder et de quoi jouer. Après l'avoir vu, je repartis à la base. Après tout, si je disparaissait trop longtemps, les autres membres de mon équipe le remarquerait. Par chance, le temps s'écoulait plus vite dans cette FIC et dans la temporalité dans la base, je n'étais partis que depuis 8 minutes. En revenant, j'étais encore seul, mais le coeur et l'esprit remplis de belles images et de pensées positives sur mes chances avec elle.
À peine revenu, on m'appela pour une réunion d'urgence. Les scientifiques de la Fiction avancaient à grand pas de leur objectif. La cellule d'urgence décide d'une attaque qui détruirait complètement les laboratoires. L'attaque eu lieu le lendemain et fut un succès incontestable. Ils avaient toujours les moyens de reconstruire le laboratoire, mais ils perderaient un temps fou à reconstruire les prototypes détruits. Satisfaits, ils décidèrent de les laisser tranquille. Au moins, pour quelque jours de répits bien mérité. Je ne put m'empêcher de penser à ses pauvres habitants qui ont dût être blesser dans un dommage collatéral. Mais comme d'habitude, je me contenta de hocher la tête stupidement.
Je passa les quelques jours de répit que l'on m'accorda aussi à repenser à elle. Plus j'essayais de me détendre sans penser à elle et plus mes pensées se tournaient vers elle. Après une semaine, j'ai craqué et je suis retourné dans son monde. Je ne pouvais pas faire autrement. Et c'est là ou tout à basculer. Je la vis, mais pas comme je l’espérait. Elle étais dans les bras d'un autre homme. Elle semblait si heure et c'est probablement ça qui m'a fendu le coeur en deux, comme l'aurait fait une épée bien afutée. Sans dire le moindre mot, je me suis retourné et je suis parti. En rentrent dans mes appartements, j'ai tout balancé dans tous les sens possible et de toute les façons possible. Je me suis laissé emporter par mes émotions avec une femme à qui je n'ai jamais parlé. Je sais que cela semble stupide, mais j'ai agis comme un idiot.
Le lendemain, une réunion d'urgence eu lieu. Les ingénieurs de la fictions avaient, malgré nos nombreux efforts, réussirent à développer cette fameuse technologie. Et c'est là que me vînt le pire idée de ma vie. Je décida, sans aucune hésitation ni même remords. de proposer la suppresion de la fiction. Bien sûr, ce fût refuser à l'hunanimité, mais j'ai penssé à une deuxiène plan presque instatanément. Il ne ma fallut que attendre la nuit
La nuit même, je me rendit au poste de commandement. Je mit un certain temps avant de trouver ce que je cherchais, avant de finalement tomber dessus. Devant moi, Dresser droit comme Excalibur, se tennait une simple manette en apparence. Mais c'est cette même manette qui me permit d'accomplir mon sombre dessin. Elle permettait tout simplement de désactiver le système de surveillance de la fiction. Ceci fait, je fit un détour à l'armuerie, oû personne ne me dérangea au vu de mon grade. Je pris alors l'arme avec la plus grande capacité de chargeur que je trouvea, ainsi que le plus de munitions possible. Et je me dirigea vers le téléporteur.
Une fois sur place, je me rendit au village, celui dont je savais pertinemment qu'il étais le seul de la fiction. Je n'hésita même pasavant de rentrer dans chaque maison et de faire feu sur chaque habitants, De nature pacifique, ils ne possédaient même pas d'armes. Je n'épargna pas, non sans lâcher une larme, la femme dont je m'étais épris. Ma sombre besogne accomplis, je rentra au bercail. Mais bien sûr, le lendemain, tout le monde vit que les habitants de la fictions avaient été massacrer. Et de la main d'un membre de la BPF. L'armurier me balançera sûrement dans les prochains jours, malgré qu'on se soit toujours bien enttendu.
Les gens doivent savoir. Pour ne jamais finir comme moi.
Ne jamais s'éprendre d'une habitante d'une fiction. Jamais